Pour une fois, sur ce blog, nous n'allons pas faire de la politique mais un test qui va vous reveler ce qui se trouve au plus profond de votre subconscient.
N'attendez pas une minute de plus : Cliquez ici
« février 2007 | Accueil | avril 2007 »
Pour une fois, sur ce blog, nous n'allons pas faire de la politique mais un test qui va vous reveler ce qui se trouve au plus profond de votre subconscient.
N'attendez pas une minute de plus : Cliquez ici
Vote par procuration, mode d'emploi Vacances, obligations professionnelles, maladie, handicap... vous ne pourrez voter en personne le 22 avril ou le 6 mai prochain ? Le vote par procuration permet de se faire représenter, le jour d'une élection, par un électeur de son choix. ------------------------------------------------
Document : |
Une mesure qui existe déjà sans restriction pour les salaires avoisinant le Smic.
Les salaires versés inférieurs à 1,6 fois le SMIC ouvrent déjà droit à un allègement des cotisations patronales de sécurité sociale (maladie, maternité, invalidité, vieillesse, décès, accident du travail et allocations familiales).
Cette possibilité est accessible à toutes les entreprises sans condition liée à la durée du travail et sans formalités.
L'employeur bénéficie d'une exonération des cotisations patronales au niveau du Smic, puis d'un allègement dégressif jusqu'à 1,6 Smic (environ 1.600 € nets). Le ciblage de l'actuel dispositif d'allègements de charges sur les bas salaires lui assure une certaine efficacité : la population concernée, souvent faiblement qualifiée, est celle qui est la plus menacée par le chômage.
Une mesure qui aurait un coût important pour une efficacité proche de zéro
L'institut de l'entreprise chiffre le coût de cette mesure à 8 milliards d'euros. Il s'agit sans doute d'un chiffre sous-évalué car elle risque de porter essentiellement, comme on va le voir, sur les plus gros salaires.
Le candidat centriste veut appliquer sa mesure d'exonération à toutes les entreprises et surtout à tous les types d'emplois, y compris les mieux rémunérés. Ainsi, l'entrepreneur avisé aurait tout intérêt à embaucher rapidement deux cadres surdiplômés, qui lui coûteraient cher en cotisations sociales. En effet, la mesure en question ne change rien pour l'embauche d'un salarié au niveau du Smic, déjà exonéré de charges patronales aujourd'hui.
Elle donne en revanche toute sa mesure quand il s'agit de recruter un collaborateur très bien rémunéré, donc a priori déjà bien inséré dans le monde du travail. A titre d'exemple, un cadre payé 6.000 € bruts tous les mois permet une économie pour l'entreprise par rapport à aujourd'hui d'environ 1.500 € en charges patronales tous les mois, soit près de 18.000 € par an.
C'est autant que le budget de l'Etat devra supporter à leur place, alors même que ces emplois auraient été créés de toute façon. Pour quelqu'un qui veut faire de la lutte contre les gaspillages et de la réduction de la dette publique une priorité, voila une disposition bien singulière !
A un mois du premier tour, votre mobilisation est essentielle, voici les 10 raisons de voter et de faire voter pour Nicolas Sarkozy.
|
Le constat : Notre système de santé possède des points forts : « la liberté de choix du patient, la couverture de l'ensemble de la population et la qualité globalement exceptionnelle du système de soins qui nous place toujours en tête des classements de l'OMS. Au titre des points faibles, une politique de santé trop longtemps perçue comme une politique de financement de l'assurance-maladie, ce qui nous a amenés à négliger la prévention et la recherche, l'épuisement des professionnels et l'existence de certaines inégalités dans l'accès au système de soins ». Les priorités de Nicolas Sarkozy seront donc :
Pour l'égalité d'accès aux soins qui est « menacée par le manque de couverture complémentaire, l'inégale répartition des professionnels et des équipements sur le territoire, les inégalités entre établissements hospitaliers » Nicolas Sarkozy « propose de renforcer l'aide à l'acquisition d'une complémentaire et d'améliorer les remboursements des soins dentaires et optiques ». Enfin, « la nature de la prise en charge de la dépendance dépasse largement celle de la maladie ou de la vieillesse ». Nicolas Sarkozy « propose donc de créer une cinquième branche de la sécurité sociale qui prendrait en charge la dépendance et permettrait de financer les adaptations nécessaires ». (Propos issus de l'interview de Nicolas Sarkozy au journal Hôpitaux Magazine, daté d'avril 2007) |
L'Institut d'analyse économique Rexecode, premier centre français d'analyse et de prévisions macroéconomiques indépendant des pouvoirs publics, a rendu public son analyse des programmes économiques de Nicolas Sarkozy et de deux autres candidats en tête dans les sondages. Ses conclusions sont sans appel. Le programme économique du candidat centriste aboutirait une destruction de 60 000 emplois. La réduction des allègements de charge sociale entraînerait en effet la destruction de 200 à 250 000 emplois, soit nettement plus que les emplois créés par les autres mesures proposées par le député UDF, en particulier l'absence de charges pour deux emplois nouveaux. D'après Rexecode, « au total, l'effet sur l'emploi et sur la croissance serait négatif ». Les conclusions sur le programme de la candidate socialiste sont encore plus sévères. Le SMIC à 1 500 euros détruirait 50 000 emplois, la suppression du CNE 30 000 et l'effet à moyen terme des emplois tremplin serait négatif. Au total, 150 000 emplois seraient détruits et la croissance du PIB serait réduite de 0,9 point en cas d'application du programme de la candidate du PS. L'effet positif du programme de Nicolas Sarkozy est démontré par les calculs de l'Institut. La croissance du PIB sera supérieure à son niveau actuel dans une fourchette comprise entre 1 et 1,3 point du PIB et 160 à 200 000 emplois seront créés. Même si l'on peut regretter que Rexecode n'ait pas chiffré l'impact positif de la réforme de l'enseignement supérieur et de la recherche, de la mise en place du contrat de travail unique ou de la réforme du service public de l'emploi inscrites au programme de Nicolas Sarkozy, ces résultats soulignent la cohérence et la pertinence de nos propositions, qui sont les seules à apporter les bonnes réponses aux problèmes de l'économie française, à la stagnation du pouvoir d'achat des Français, à la persistance d'un chômage élevé et à la dégradation de nos finances publiques. C'est pour cette raison qu'Olivier Blanchard, l'un des économistes français les plus réputés au monde, Professeur au MIT, a annoncé récemment sur le blog http://www.telos-eu.com « qu'il soutiendrait Nicolas Sarkozy », car « il a mieux identifié les problèmes de la France, et a une idée plus claire des solutions et des stratégies à suivre. Il me parait plus à même d'améliorer le sort des jeunes, de diminuer le chômage, d'engager une vraie reforme de l'université ». |
Éric Besson a adhéré au Parti socialiste en 1993. Il est député de la Drôme et maire de Donzère. Jusqu'au 14 février, il occupait des fonctions de direction au PS. Objet d'attaques personnelles insidieuses suite à sa démission, il vient de publier un livre (Qui connait Madame Royal ? éditions Grasset, entretien avec Claude Askolovitch) pour rétablir la vérité. « Pourtant jusqu'à ma démission, j'ai été un artisan loyal de sa campagne, je me forçais à avancer en dépit de ce que je constatais, j'ai vu la brutalité, j'ai vu l'impréparation. La désinvolture. J'ai vu la démagogie. » L'élu socialiste évoque longuement son amitié avec François Hollande et François Rebsamen qui lui ont confiés le travail stratégique de secrétaire national du PS à l'économie. « C'était énormément de travail, le mien et celui de dizaines d'experts bénévoles (...). Mais j'ai compris que ce travail ne servirait à rien (...) Avec l'aventure Royal, on est entré dans le royaume de l'improvisation, de l'amateurisme et de l'apparence (...). Mon boulot, et celui de tout le PS, ce n'était plus de construire, mais de cacher cette réalité. » Éric Besson décrypte la méthode de la présidente de la région Poitou-Charentes et donne dans son ouvrage de très nombreux exemples à propos des errements et des méthodes de la candidate du PS sur l'encadrement militaire des délinquants, le service civique, la stratégie nucléaire, etc. « Elle joue de sa victimisation, elle instrumentalise le féminisme, les souffrances des femmes et celles des exclus pour asseoir son pouvoir. Elle promeut une démocratie participative qui n'est que mascarade. Seule sa propre gloire la motive. Elle use et abuse de démagogie (...) Seule sa propre gloire la motive (...). Finalement, avec Ségolène, nous avons une candidate qui dit à chacun ce qu'il veut entendre. » Profondément blessé dans son engagement d'homme de gauche et mortifié par ce qu'il a vécu dans les coulisses du PS, Éric Besson évoque aussi Nicolas Sarkozy. « Je suis intéressé, je n'ose pas dire attiré par l'énergie qu'il dégage, il a une énergie vitale énorme et une culture de l'action qui m'impressionnent et m'attirent. » Ayant pris la décision de ne plus subir ce qu'il qualifie de « poujadisme de gauche » Éric Besson a annoncé qu'il ne se représenterait pas aux élections législatives. Le député socialiste conclut : « Je pense en conscience que Ségolène Royal ne doit pas devenir présidente de la République. Je ne le souhaite pas pour mon pays. Je le redoute pour mes enfants (...). La France ne peut s'offrir le luxe de cinq ans d'errements et d'immobilisme. Elle ne s'en remettrait pas. » |