Au jour le jour...

Combien ça coûte ?

Dans l'émission de TF1 hier soir, la candidate socialiste s'est enfermée dans une forme de langue de bois compassionnelle en donnant à chaque fois raison à ses interlocuteurs.
Comme si la satisfaction d'intérêts particuliers juxtaposés pouvait tenir lieu de projet pour l'avenir de la France.

Sur tous les grands sujets, les différences avec Nicolas Sarkozy sont apparues au grand jour :

Sur l'augmentation du SMIC

La candidate socialiste propose de porter le salaire minimum à 1 500 Euros brut sans jamais expliquer comment les entreprises et l'Etat pourront faire face à cette augmentation.

Face à ce risque de « smicardiser » la France, Nicolas Sarkozy propose que celui qui veut gagner plus puisse travailler plus.
Ainsi, un salarié au SMIC qui acceptera d'effectuer 4 heures de travail supplémentaires par semaine verra son revenu augmenter de + 1 980 Euros par an (soit plus d'un mois de salaire).

Sur la revalorisation des petites retraites

La députée de Melle annonce une augmentation immédiate des retraites les plus faibles sans jamais expliquer comment elle financerait cette hausse alors que le PS veut supprimer les lois Fillon qui garantissent le financement de nos retraites.

Pour Nicolas Sarkozy l'augmentation des retraites les plus faibles est une priorité mais le coût de cette mesure sera assuré par la remise à plat des régimes spéciaux.

Il y a d'un coté une vision particulièrement inquiétante d'une société où l'irresponsabilité et l'assistanat sont érigés en norme avec un véritable risque d'un déclassement social généralisé.
Chez Nicolas Sarkozy tout au contraire, le projet présidentiel s'appuie sur le travail des Français et une volonté de redonner toute leur valeur aux notions de responsabilité individuelle et de promotion sociale.

Yves Jégo
Député

Vous m’avez convaincu madame Royal !

Oui, vraiment, après avoir attentivement suivi votre débat participatif avec les 100 français du panel sélectionné par TF1, vous m’avez convaincu !

Comme vous l’avez si souvent dit lors d'échanges courtois, « je suis d’accord avec vous », il faut un projet « donnant donnant » pour aboutir à un pacte « gagnant gagnant ».

Je suis d’accord avec vous lorsque vous constatez que les petites retraites doivent être revalorisées. Je suis d’accord avec vous quand vous constatez qu’il y a un problème de pouvoir d’achat en France. Je suis d’accord avec vous quand vous affirmez, au bord des larmes, que les handicapés doivent être considérés en tant que citoyens comme les autres. Je suis d’accord avec vous lorsque vous dites que l’éducation et la formation doivent être des priorités. Je suis toujours d’accord avec vous quand vous prônez une immigration choisie plutôt que subie, quand vous affirmez qu’il faut favoriser le co-développement afin d’éviter une émigration massive des pays pauvres vers les pays riches.

Oui madame Royal, je suis d’accord avec vous que le seul programme applicable est celui de Nicolas Sarkozy. Car, madame Royal, hier soir, hormis manier la langue de bois, ne pas répondre aux questions qui vous étaient posées, tout en disant à tous « je suis d’accord avec vous », les constatations que vous avez faites sont exactement celles que Nicolas Sarkozy a fait depuis plusieurs mois. A un détail près, mais quel détail, Nicolas Sarkozy, lui, propose des solutions réfléchies, logiques qui mèneront au redressement de la l’économie française, redonneront espoir et confiance en un avenir meilleur, participeront à une augmentation du pouvoir d’achat et au désendettement de la France.

Alors oui madame Royal, vous m’avez convaincu, si besoin était, qu’il faut voter pour Nicolas Sarkozy. Mais surtout, vous m’avez convaincu que votre programme, hormis une litanie d’idées généreuses et coûteuses, est royalement vide.

Vous avez fait preuve de beaucoup de bravitude hier soir en arrivant à ne répondre à aucune question, à maintenir éveiller les millions de français qui baillaient d’ennui devant leur écran, en promettant tout sans donner la moindre piste permettant de savoir comment vous allez vous-y prendre, en parlant pendant près de 90 minutes sans rien dire à part, « je crois », « je pense », « je suis d’accord avec vous », « donnant donnant » et, enfin, votre désormais cris de guerre : « gagnant gagnant ».

Oui vraiment, madame Royal, vous m’avez convaincu que votre projet n’est ni réaliste, ni innovant et que la montagne des « débats participatifs » a accouché d’une souris.

D’ailleurs, à propos de rongeur, rappelez vous que lorsque les rats quittent le navire, c’est qu’il ne va pas tarder à sombrer ….

Une femme est un Homme politique comme les autres !

Quel curieux paradoxe que de voir en permanence Mme Royal reprocher aux journalistes et aux politiques de l’attaquer parce qu’elle est une femme. Elle qui clame à qui veut l’entendre qu’elle désire être traitée comme tous les autres candidats !

C’est pourtant vrai, il n’y a aucune raison de traiter différemment madame Royal de Nicolas Sarkozy ou de messieurs Le Pen ou Bayrou, au simple motif qu’elle est une femme.

D’ailleurs si l’on regarde l’ensemble des attaques dont elle a fait l’objet, la totalité des attaques à caractère sexiste proviennent de son propre camp. M. Lang, rallié de dernière minute à d’ailleurs tant à ce faire pardonner à ce sujet qu’il fait preuve d’un ségolenisme trop beau pour être honnête.

Madame Royal, qui semble avoir bonne mémoire, n’oubliera pas si facilement le livre que monsieur Lang a fait mettre au pilon dès son ralliement de circonstance, livre dans lequel il mettait, entre autre, en pièce la candidate à la candidature.

Mais madame Royal utilise son statut de femme pour contester toute critique à son égard ; il est vrai que cela lui permet d’esquiver ces dernières tout en ne défendant pas un programme qui n’est qu’une liste de vœux pieux et sans consistance.

Alors madame Royal, souvenez-vous, une femme est un Homme politique comme un autre et doit donc accepter toutes les attaques, y répondre en s’appuyant sur un projet concret et argumenter autrement qu’en répondant « vous me dites ceci car je suis une femme » !

Humour toujours ...

Interview de Nicolas Sarkozy dans les Echos du 14 février

A lire absolument :

Le calendrier des réformes de Nicolas Sarkozy

Un peu de politique fiction...

Rions un peu, heureusement ce n'est que de la fiction ...

Ségo, Bill et Boris
envoyé par dakedok

Nicolas Sarkozy à la Mutualité le 11 février

Dans la continuité de son discours d'investiture du 14 janvier, Nicolas Sarkozy a, devant plusieurs milliers de responsables de comités de soutien et de chefs de groupes de supporters, affirmé qu'il était le candidat de tous les français.

Contrairement aux autres candidats, il n'est pas le candidat d'un camp contre l'autre, il ne trie pas entre les bons et les méchants, les riches et les pauvres, les valides et les handicapés...

Il n'est pas le candidat du sectarisme et de l'archaïsme, mais il veut rassembler, pour que tous ensemble, tout redevienne possible.

Cliquez ici pour lire le texte intégral du discours de Nicolas Sarkozy

Tout ça pour ça !

Après trois mois d'attente, nous découvrons enfin le programme de la candidate des socialistes.
Il s'agit en fait d'un catalogue de mesures hétéroclites et « attrape tout ».
Manifestement il n'y a dans ce projet ni vision ni mode d'emploi.

Ségolène Royal pratique à outrance le recyclage des vieilles méthodes du PS (35h, emplois jeunes, RMI, police de quartier ...) dont les Français ont mesuré l'inefficacité et le coût entre 1997 et 2002.

Pour financer leur fausse générosité (augmentation des retraites, Smic à 1500 euros, RMI- jeunes, gratuité des soins pour les moins de 16 ans ...) les socialistes seront condamnés à faire ce qu'a promis François Hollande ; à savoir augmenter fortement les impôts qui pèsent sur les Français qui travaillent et creuser à nouveau le déficit budgétaire de la France.

Alors que Nicolas Sarkozy axe son projet sur la valeur travail seule créatrice de richesses, de croissance et de pouvoir d'achat, Madame Royal prône la redistribution pour tous sans se préoccuper de la façon dont tout cela sera financé.

L'effet boomerang

Les dirigeants socialistes semblent avoir bien peu de culture générale. En effet, ils ignorent qu'un boomerang est une arme qui retourne à son expéditeur, et ,quand son expéditeur l'a oublié, il le prend en pleine figure.

En relayant et condamnant avec force communiqués la soi-disant utilisation à des fins personnelles, par Nicolas Sarkozy,  des forces de police afin de faire retrouver le scooter de son fils, avec la circonstance aggravante qui aurait été l'utilisation de test ADN, les dirigeants socialistes avaient oublié le principe du boomerang.

Hier, un quotidien parisien rappelle que le même problème de vol de scooter était arrivé au fils de la Famille Royale Royal, et qu'a cette occasion non seulement un test ADN avait été pratiqué mais c'est le SRPJ (la Police Judiciaire), et non pas la Police Urbaine de Proximité comme dans le cas Sarkozy, qui avait été appelé à la rescousse.

Non que je relève cela pour nuire aux Royal, mais il est de notoriété publique que lorsqu'un membre d'une famille connue fait appel à la Police, cette dernière met souvent des moyens plus importants en oeuvre afin de résoudre le dossier, que si la saisine avait été du fait d'un quidam. On peut le regretter, mais cet un état de fait, et il est nul besoin que le ministre de l'Interieur, ou un chef de cabinet en fasse la demande, c'est souvent à l'initiative du fonctionnaire en charge du dossier qui se dit qu'en faisant du zèle il sera mieux noté.

Alors, madame la Candidate, plutot que d'envoyer vos troupe à l'assaut du candidat adverse en usant de basses polémiques vous feriez mieux de l'attaquer en prouvant que votre programme est meilleur que celui de Nicolas Sarkozy.

J'avais oublié ...

A part enfoncer des portes ouvertes ( la défense des femmes battues par exemple), créer des néologismes douteux, accumuler des bourdes et dénoncer le machisme de ceux qui vous attaquent sur la vacuité de vos positions....De programme politique et économique pour la France, vous n'en avez pas!

Remarquable !

Pendant près de deux heures Nicolas Sarkozy a répondu de façon claire, sans langue de bois aux question d'une centaine de français présents sur le plateau de TF1.

Dans la continuité du Congrès du 14 janvier Nicolas Sarkozy a montré aux françaises et aux français qu'il était le candidat de tous, riches ou pauvres, favorisés ou exclus, salariés du public ou du privé...

La sérénité, l'ouverture et le respect de tous dont il a fait preuve ce soir renforce mon engagement à son coté et, j'en suis sur, a convaincu beaucoup de le rejoindre.

Il est le candidat de tous les français et sera le président qui redonnera à la France le goût d'aller de l'avant.