Il appelle les Français à se mobiliser dimanche pour la défense de leur pouvoir d'achat et l'amélioration de leur niveau de vie.
Il appelle les Français à se mobiliser dimanche pour la défense de leur pouvoir d'achat et l'amélioration de leur niveau de vie.
Chers lecteurs, je suis officiellement nommé directeur de campagne de la liste UMP dans le 4ème arrondissement de Paris.
Cette liste sera conduite par Vincent Roger, 38 ans, Directeur de Cabinet de Laurent Wauquiez, le Porte Parole du Gouvernement.
Vincent habite depuis plus dans le 4ème et je fais partie de son équipe de campagne depuis sa mise en place.
Nous avons déja travaillé ensemble durant les campagnes Présidentielle et législatives 2007, avec une équipe dynamique et motivée. Il le faut pour mener 3 campagnes électorales à la suite en 2007.
En janvier dernier, j'annonçais dans ce même blog que j'allais, sans hésitation, voter pour Nicolas Sarkozy lors des présidentielles.
Fin 2006, en tant qu'adhérent UMP de Paris, j'avais choisi de voter en faveur de Françoise de Panafieu lors des primaires des élections municipales à Paris.
Comme je ne retourne pas ma veste au gré du vent ou des sondages, j'avais voté Nicolas Sarkozy et je voterais pour Françoise de Panafieu.
Le combat va être difficile, face à un candidat de gauche expert en politique cosmétique, mais gagnable.
Gagnable si toute la droite parisienne fait bloc derrière la candidate désignée par les adhérents parisiens.
Gagnable si les querelles de chefs, les croisades personnelles, les magouilles d'arrière boutique et surtout d'un autre temps, cessent pour que , tous ensemble, nous nous battions pour reconquérir Paris.
Françoise de Panafieu a la légitimité que lui ont donné les militants, la légitimité d'une femme qui a prouvé sa compétence, aussi bien en tant que maire, de député ou de ministre. Alors fini le temps du clientélisme, des aventures individuelles sans lendemain, montrons, face à une gauche désunie, déboussolée et arrogante, que le temps de la rupture est venu à Paris.
Avec Françoise de Panafieu, faisons un pari, celui d'un Paris Gagnant !
Patrice Vuillard
Les résultats du premier tour des élections législatives démontrent la volonté des Français « de donner un cap à la France » et de confirmer l’élan de l’élection présidentielle.
Le Premier ministre François Fillon a déclaré que le résultat du premier tour des élections législatives « confirmait la volonté" des Français "de donner un cap à la France […] ». « Le 6 mai dernier, avec l'élection de Nicolas Sarkozy, une large espérance populaire est née. C'est une espérance pour rompre avec les échecs du passé. C'est une espérance pour libérer le pays de son inertie et de son scepticisme […] Le changement est en marche, chacun doit y avoir sa part. Chacun doit s'engager pour la République et pour la France ».
Il a pour cela demandé aux Français "une majorité pour agir" : « L'élan est là, mais il ne peut être concrétisé qu'avec une majorité présidentielle, large, cohérente et bien décidée d'aller de l'avant ». C’est pourquoi il a appelé les Français à « se rendent aux urne » pour le second tour : "Ce soir, une partie du chemin est fait mais tout se décidera vraiment dimanche prochain ».
Lire l’intégralité de l’intervention
Maintenir l’élan
Pour Patrick Devedjian, secrétaire général délégué de l'UMP, « l'élan qui a été celui de la campagne présidentielle est maintenu dans cette élection ». « C'est une vague mêlée de toutes les forces de notre pays qui veulent profondément le changer et qui se rassemblent sur le projet du président de la République, et ça va bien au-delà de la droite ».
Il a souligné qu’il était dans « l'intérêt du pays » que la gauche « se réforme » et que la droite « l'associerait autant qu'elle le peut » aux « responsabilités » et autant « qu'elle (la gauche) le voudra, cela lui appartient. Et c'est cet esprit positif à l'égard de toutes les réformes à entreprendre que nous manifesterons dans ces huit jours de campagne qui nous restent ».
Lire l’intégralité de l’intervention
Un devoir d'ouverture
Jean-Pierre Raffarin a affirmé que l'UMP avait un "devoir d'ouverture", après son "succès" au premier tour des élections législatives, « non seulement aux différentes familles politiques pour soutenir le projet de Nicolas Sarkozy, mais sociologiquement aussi à toutes les couches de la société ». « C'est un succès, l'élan qu'a donné Nicolas Sarkozy à la politique française est confirmé par les Français. Ils ont confirmé massivement leur choix et la dynamique de Nicolas Sarkozy a été confirmée par les Français ».
Patrice Vuillard
Yves Jégo
Député de Seine et Marne
Pour nous rejoindre c'est ici > www.nouvelle-societe.com
Cette question, toute iconoclaste quelle paraisse, me semble bien d'actualité.
Avant même le deuxième tours des élections, la candidate plébiscitée par la gauche s'interrogeait sur les troubles que pourraient engendrer l'élection de Nicolas Sarkozy. Plus qu'une interrogation, cela m'a semblé un appel au désordre et je m'en étais ému sur ce même blog.
Bien entendu, les troubles tant annoncés (souhaités ?) par madame la candidate de la gauche, dite républicaine unie à celle qualifiée d'extrême, sont survenus. Mais se sont bien vite calmés, non pas à la demande de "la madone de l'ordre juste" mais face aux citoyens français qui, après avoir voté en masse, ont exprimé leur dégot de ce "troisième tour" dans la rue.
Ayant raté cette tentative de destabilisation, les démocrates d'extrème gauche ont tenté un blocage des universités par des étudiants qui n'en avaient que le nom ! là encore échec, le principal syndicat représentatif (d'une minorité d'étudiants) , ne supportant pas de se voir ravir la une des journaux, a appelé à un arrêt des blocages.
Ces deux faits ne sont que la partie visible de l'iceberg. Depuis sa défaite cuisante au élections, la gauche n'a de cessé de faire croire que les français n'ont pas voté pour Nicolas Sarkozy. Le sourire triomphal de "la France présidente" le soir du second tour laissait déjà à penser qu'elle avait gagné. Les discours de haine et de division, les déclarations concernant le "danger" à donner tous les pouvoirs à "la droite" sont aussi des signes de ce refus de reconnaitre le vote des français.
Pire encore, le futur ex "premier secrétaire" exclu, sans aucun respect des statuts du Parti Socialiste, les "félons" qui ont trahis ! Encore une preuve de leur curieux sens de la démocratie.
Enfin, non content d'être un militant dans la "vie réelle" , je milite également dans la vie virtuelle de "Second Life". Et là, dès le soir du second tour, l'Ile Sarkozy "QG de campagne virtuel et non officiel " a été attaquée par des "défenseurs de la démocratie" à coup de "particules" insultantes pour le président élu.
Mais je n'étais pas au bout de mes surprises, visitant le blog d'un des principaux responsables de "Désirs d'Avenir" sur Second Life, je tombe, dans la liste de ses liens, sur une catégorie "presse autorisée" !
Oui, les militants socialistes ont une conception de la démocratie qui les autorise à dicerner, au sein de la presse, celle qui est "autorisée" et celle qui ne l'est pas !
Au secours Staline est de retour.
Salle Gaveau, 20 h, debout à coté de Simone Veil, je vois le visage de Nicolas Sarkozy apparaitre sur l'écran géant.
Depuis 18 h nous savions, mais nous avions besoin de VOIR pour réaliser que c'est LUI !
Les larmes nous montent aux yeux, Simone Veil se penche vers moi et me dit simplement :
"il le mérite !"
Oui vraiment, il le mérite !
les français ont un président qui saura nous rassembler, nous allons l'aider à reconstruire une France où désormais tout redevient possible !
patrice vuillard
Le 25 janvier dernier, sur ce même blog, je me demandais si la candidate du parti socialiste se souvenait du danger qu’il y avait à proposer des solutions simplistes à des problèmes réels.
Je me demandais si madame Royal se rendait compte que certaines de ses positions rappelaient étrangement ce que la gauche est souvent prompte à appeler « la période sombre de l’histoire de France».
Un peu plus de trois mois plus tard je constate avec horreur que non seulement ses propositions, mais aussi son attitude, relèvent de l’ignominie qui a conduit à la l’instaurations des dictatures les plus sanglantes du 20ème siècle.
Oui madame Royal est un danger pour la démocratie.
A la suite de cet article du 25 janvier « je me souviens… », j’ai reçu nombre de courriels d’insultes où l’on m’expliquait que le candidat que je soutenais était le diable incarné, un clone de Le Pen, voire de Hitler et que le seul rempart contre l’installation d’un régime fasciste en France était Ségolène Royal.
Désormais madame Royal et son équipe révèlent leur vrai visage, celui de l’intolérance, de la haine, de l’insulte, de l’ignominie.
Avant même que les françaises et les français aient voté pour choisir leur futur Président dela République, on leur annonce que si Nicolas Sarkozy est élu, il y aura un troisième tour dans la rue.
Est-ce cela la démocratie ?
Non madame Royal, vous n’êtes pas une démocrate, vous l’avez prouvé tout d’abord au sein de votre propre camp en ne respectant pas vos collaborateurs et alliés, vous l’avez prouvé a l’issu du premier tour en essayant de contourner le vote des français par des magouilles avec un candidat éliminé, vous le prouvez depuis le 2 mai au soir par vos déclarations ignobles.
Madame Royal, votre discours transpire la haine et l’intolérance. Durant ces presque quatre mois de campagne je n’ai jamais attaque votre personne, mais combattu vos idées. Mais je ne peux rester silencieux devant l’immoralité de votre attitude.
Oui madame Royal, je suis en colère, votre attitude est indigne, ignoble, dangereuse et condamnable. Vous serez la seule comptable de ce qui pourrait ce passer suite à vos déclarations !
Je suis en colère, mais aussi rassuré, car les françaises et les français auront découvert votre véritable visage avant le deuxième tour et plus nombreux seront ceux qui se tourneront vers le seul candidat qui saura rassembler pour qu’ensemble tout redevienne possible.
Oui dimanche prochain nous voterons en masse pour Nicolas Sarkozy.
patrice vuillard
patrice vuillard
patrice vuillard
Retrouvez ici l'interview de mon amie, Constance MORELLA, Ambassadeur des Etats-Unis auprès de l'OCDE, à la fin de la réunion publique de Nicolas Sarkozy au palais Omnisports de Paris Bercy le 29 avril 2007.
Elle avait exprimé le souhait de découvrir comment se vivait une campagne électorale en France. Je lui ai proposé de m'accompagner à cette réunion. Elle à découvert que les français s'intéressent à la vie politique, s'engagent et ont, en Nicolas sarkozy, un candidat qui les remplis d'enthousiasme.
Elle affirme que la France est un modèle d'engagement des citoyens dans la vie politique, d'engagement au travers d'un taux de participation impressionnant aux yeux d'une américaine qui a été membre du congrès des Etats-Unis durant 16 ans et Ambassadeur depuis trois ans à Paris.
Cliquez ici pour découvrir la biographie de Constance Morella.